Avantages salariés

Comptoir Dugommier, l’Agence Télécom au cœur de Marseille

« J’irai déjeuner avec vous » prend le train aujourd’hui, et plonge au cœur de la cité Phocéenne, à deux pas de la Gare Saint-Charles et de son esplanade.
#Dématérialisation #Déjeuner #ticket restaurant
18 mars 2015

«J’irai déjeuner avec vous» prend le train aujourd’hui, et plonge au cœur de la cité Phocéenne, à deux pas de la Gare Saint-Charles et de son esplanade. Au Comptoir Dugommier, le repas avec les collaborateurs de l’Agence Télécom prend des accents méditerranéens, pour dire le plaisir de vivre et travailler face à la Grande Bleue éternelle, tout en évoluant dans une activité jeune et dynamique.

Par François Jeanne, reporter pour Manager Attitude

Il n’y a pas que Paris dans la vie et votre serviteur est bien content de s’attabler à Marseille en compagnie de Bérengère le Mouel (Responsable RH et Administrative), Aurélie Gelanor (commerciale) et Marion Malerba (responsable des commandes de titres restaurants) de l’Agence Télécom, et de Julie Lamotte, leur interlocutrice commerciale chez Edenred (responsable commerciale Bouches du Rhône et Corse).

Le soleil est resplendissant, la faute ou grâce à un Mistral qui a soufflé toute la nuit. Mais pas encore assez chaud pour nous permettre de nous installer en terrasse, d’autant que le Comptoir Dugommier est installé sur le boulevard éponyme, à quelques mètres de la gare Saint-Charles, dans un quartier qui bruisse des mille bruits de la ville. L’intérieur est accueillant, avec son comptoir d’époque, ses cuivres rutilants, sans oublier les confitures maison qui finissent de reposer, pots retournés. La cuisine se situe à l’intérieur de la salle, et offre une nourriture traditionnelle française, roborative et riche des saveurs du midi.

Confitures maison et ambiance village

Pour qui arrive de la capitale, il règne ici comme une atmosphère de village, qui fait irrésistiblement penser à la réplique de César dans Marius, persuadé que son ami Monsieur Brun va croiser son collègue marseillais Landolfi monté à la capitale dès lors qu’il descendra du train à Paris. «Marseille est à la fois une vraie grande ville, mais aussi une ville de quartiers, qui sont autant de villages bien particuliers» m’explique Bérengère Le Mouel. Et Julie Lamotte, qui habite comme elle dans le 7ème arrondissement, d’appuyer en riant: «C’est tellement vrai qu’avant qu’elle ne devienne cliente chez Edenred, je connaissais surtout Bérengère comme voisine. Car Marseille est une ville où l’on se voit».

Aurélie qui vit également en ville, et Marion, qui a choisi de s’installer à Miramas, facilement reliée à son lieu de travail en train, abondent. Le fait est que la question des trajets pour aller au bureau n’a pas l’air de les préoccuper. Mais cela suffit-il pour être heureux au travail ? La discussion rebondit sur une émission diffusée la veille par Arte, consacrée notamment à des entreprises industrielles ou de services qui ont fait le choix de s’en remettre pleinement au dialogue et aux initiatives de leurs salariés, pour repenser l’organisation et le bonheur au travail.

Tendance à l’hyper-connectivité

«Dans notre activité, qui est dynamique, constamment renouvelée, le risque de s’ennuyer n’existe pas vraiment» commente Aurélie. «Malgré un âge moyen plutôt jeune, nous avons eu des seniors et même un retraité de France Télécom qui ont souhaité venir travailler chez nous» complète Bérengère. «C’est clair, le fait d’être dans un secteur qui embauche, avec des postes qui se créent, aide à voir la situation en positif» positive Marion. Rien à voir donc avec le fait que Pascale, la restauratrice vient de nous apporter la carte des desserts….

«Tout n’est pas rose, tout de même avec ces nouvelles technologies» reprend Julie. Son souci, c’est l’hyper connectivité – portable, ordinateur, réseaux sociaux. Elle en vient presque à rêver de suivre, au moins partiellement, une de ces cures de désintoxication dont il est parfois question dans les médias. Histoire de reprendre la main sur un emploi du temps qu’on imagine très chargé.

Un séminaire… top-secret!

L’Agence Télécom a peut-être une arme secrète pour cela. En dehors de locaux très accueillants et d’une ambiance propice aux déjeuners pris en commun dans une salle aménagée, l’entreprise a instauré depuis plusieurs années le principe d’un séminaire annuel, de deux ou trois jours. «Cela permet à tous les collaborateurs de se retrouver, de faire connaissance avec les nouveaux entrants, mais aussi de couper pour quelques jours avec les habitudes, aussi agréables soient-elles» explique Bérengère. Laquelle se fait aussitôt assaillir par ses collègues, qui veulent découvrir où se tiendra le prochain évènement: «Je ne leur dirai pas. C’est un jeu entre nous. Les circonstances veulent que, tous les ans, en signant les devis des prestataires qui vont nous accueillir, je sache un peu avant les autres le lieu du séminaire. Mais l’attente et le suspense, c’est bien aussi».

Carte Ticket Restaurant® et titres papier: le bon mix, c’est le bon plan

C’est vrai que l’ambiance est plutôt bon enfant, même si je m’étonne de ne pas entendre parler de l’OM à table. «Il fallait inviter les garçons! Nous, aujourd’hui, en restant entre filles, on se repose un peu du football » plaisantent mes voisines. Et leur complicité génère aussi une vraie inventivité face aux problèmes de la vie quotidienne. Ainsi, lorsque la carte Ticket Restaurant® a fait son apparition, très tôt, en avril dernier, dans l’entreprise, Bérengère a senti qu’il fallait trouver une solution à la disparition des titres au format papier, qui offraient une certaine souplesse d’utilisation. «Nous avons réfléchi avec Julie et nous avons eu une idée : utiliser la possibilité de mixer les titres papier et les titres dématérialisés, non pas tous les mois, mais sur l’année. Désormais, nous délivrons, deux fois par an, et à la place du rechargement mensuel de la carte, un carnet de titres papier. Et tout le monde est content».

Contents, nous le sommes nous aussi, d’avoir pu goûter le soleil, la bonne humeur et la créativité marseillaise.