Avantages salariés

Qualité de vie au travail : c’est moyen…

4,8 sur 10 : telle est la note moyenne accordée à la qualité de vie au travail par les 1 800 salariés interrogés par Deloitte et Cadremploi au cours de leur enquête sur le “bonheur au travail”. La note s'élève à 7 sur 10 pour le niveau de stress.
#Bien-être salarié #Motivation salaries #Reconnaissance
11 mai 2015

4,8 sur 10 : telle est la note moyenne accordée à la qualité de vie au travail par les 1 800 salariés interrogés par Deloitte et Cadremploi au cours de leur enquête sur le “bonheur au travail”. La note s'élève à 7 sur 10 pour le niveau de stress.

La recherche du bien être

Le travail c'est la santé, dit la chanson, mais apparemment il ne fait pas le bonheur. « Plus que le bonheur, les salariés sont à la recherche du bien-être au travail, indique Philippe Burger, associé responsable Capital Humain chez Deloitte. Lorsque nous interrogeons des salariés, moins d’une personne sur dix va spontanément associer qualité de vie au travail et bonheur. Ce sont plutôt les notions d’ambiance de travail, de reconnaissance, de respect, d’esprit d’équipe et d’équilibre de vie qui ressortent spontanément. »

Plus le niveau de responsabilité augmente, plus la perception de qualité de vie se renforce : les cadres dirigeants accordent une note de 5,9/10 contre 4,5/10 pour les non cadres. La génération Y se montre plus optimiste (5,1/10) que ses ainés (4,6/10).

La reconnaissance, premier facteur de la qualité de vie au travail

Premier facteur évoqué comme influant sur la qualité de vie au travail : la reconnaissance, avec en particulier le respect, l'écoute et l'équité. Or, 7 salariés sur 10 ne se sentent pas reconnus à leur juste valeur. Viennent ensuite le contenu du travail (47 %), le mode de management (46 %) à égalité avec l’équilibre vie privée et vie professionnelle.

La génération Y se révèle plus sensible à la convivialité de son milieu de travail (+ 16 points par rapport à la moyenne) et à l’équilibre entre vie privée et vie professionnelle (+ 6 points). De son côté, la génération X attache davantage d'importance à la reconnaissance de son travail et au mode de management.